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Le gout du neant

840 mots 4 pages
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E XPLICATION DE TEXTE
LXXX. Le Goût du Néant

Teresa Jo Dunn FR580 2/4/2009

2/4/2009

EXPLICATION DE TEXTE
LXXX. Le Goût du Néant

Le Gout du Néant, avant de lire ce poème, on pense des idées diverses. Il est possiblement un poème d’un sujet érotique. Le gout de la mort, peut-être. Une petite expérience de la mort ; la petite mort,

l’orgasme ! Ou, une autre direction, pense-on de l’existentialisme ? Le Néant, un sujet très important pour les philosophes modernes. En

commençant à lire le poème, peut-être on va explorer des méditations sur l’âme, la vie et la morte. L’esprit est chargé de possibilités. Le poème consiste de quinze linges en rime alexandrine, mais la structure, nous rappelle un sonnet. L’arrangement des rimes est : ABBA A ABBA A ABBA A, un arrangement très proche au sonnet

Pétrarquéenne. On connait que Baudelaire n’avait pas suivi les règles toujours à la lettre. Bien que les trois lignes A singuliers suivent chaque strophe, ils servent comme titre pour la strophe précédente. Baudelaire nous présente trois petits poèmes dans un seul texte. À qui présente-il ce poème ? Habituellement, Baudelaire n’écrivait pas au sujet de lui-même, plutôt, il essayait de refléter la condition de la vie humaine, des émotions et des espoirs de tout le monde. Mais qui, spécifiquement, est le sujet de ce poème : un homme, une femme, les jeunes ? En ce cas, il est possible que ce soit lui-même. Un vrai penseur, Alors,

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une personne qui a été « autrefois amoureux de la lutte. » Au sujet de la vieillesse, il adresse tout le monde, surtout nous, les lecteurs. La

vieillesse est une condition dont personne ne peut échapper. Des étapes à vieillir nous affligent malgré des moyens que nous employons de rester jeune. La première strophe du poème est titrée (d’après moi) : « Résignetoi, mon cœur ; dors ton sommeil de brute. » En cette strophe,

Baudelaire parle d’un cheval avec un esprit morne, qui n’a plus de la motivation de se défendre

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    I- Le poète évoque ici un amour malheureux pour une femme inaccessibleD’emblée, nous pouvons remarquer qu’ il s’agit d’un poème lyrique, qui n’est pas rimé et en vers libres : le poète exprime ses émotions et ses sentiments, avec la présence des pronoms personnels« je » v.7,9,10 et « j’ » v.1,4,9,12, pour une femme inconnue du lecteur qui reste un « tu » dans le texte. Il s’agit d’un amour obsédant : elle est la seule qui compte aujourd’hui pour lui « la seule quicompte » v.10. Le poète est dans l’excès qu’il ne perçoit pas de façon négative, on le voit dans la répétition de l’adverbe « tant » qui rythme le texte. La plupart des strophes commencent parl’anaphore « j’ai tant rêvé de toi » ce qui rythme, là aussi, le texte.….

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