le jeu de l'amour et du hazard
Son langage est moins soutenu que celui de sa maîtresse, elle utilise un vocabulaire familier tel que « oui-da », « ma foi », « pardi ».
Sylvia, passe de l'irritation à l'inquiétude, pour cela elle utilise des questions rhétoriques tel que l36/39 « les hommes ne se contrefont-ils pas ? »
Elle fait preuve d’une revendication personnelle et d'une forme de liberté avec les termes « juger/choisir par soi-même / singularité de sa pensée en dehors des idées communes »
Elle oppose aux « on dit » (opinion commune) des maximes sentencieuses : « volontiers un bel homme est fat » / « dans le mariage, on a plus souvent affaire à l'homme raisonnable, qu'à l'homme aimable » Ici elle met en évidence la vérité et fait