Le joueur d'échec
Fuir à tout prix
Travail Présenté à :
François Geoffroy
Lecture et analyse 601ESB
Groupe 37
Collège Montmorency
Le lundi 27 septembre 2010
Plan détaillé
Titre : Fuir la réalité
Idée directrice : La vision de l’amour du poète est surtout négative, mais des aspects positifs apparaissent malgré tout.
Introduction :
Sujet amené : Lors de la deuxième Guerre Mondiale, beaucoup d’écrivain et écrivaine ont été censurés. Malgré cela, il y en a qui ont su nous faire parvenir leur histoire.
Sujet posé : C’est le cas de Stefan Zweig, auteur du roman «Le joueur d'échecs». La misère dans laquelle il a malheureusement vécu nous a tout de même laissé un trésor littéraire qui raconte une histoire à la lueur de cette époque. En effet, dans son roman nous constatons que les personnages ne peuvent vivre face à leur existence. Nous allons alors montrer que les personnages du roman cherchent à fuir la réalité.
SD : (ajouter les IP)
Développement :
IP : Mirko commença à jouer parce qu’il était pauvre d’esprit.
IS : Il a tout de suite accepté de terminer la première partie à laquelle il fût invité à compléter.
P : ««Eh bien! Veux-tu la finir?» dit-il en plaisantant, car il était persuadé que le jeune endormi ne saurait pas déplacer un seul pion correctement sur l’échiquier. Le garçon leva timidement la tête, fit signe que oui […]» (p.16)
E : Puisqu’il vivait avec le curé et qu’il n’avait pas de famille et aucune capacité à apprendre, il accepta immédiatement de jouer pour se sortir du vide. C’est comme s’il croyait que le jeu l’aurait diverti parce qu’autrement il ne connait rien.
IS2 : Mirko n’eut aucune réaction face à toutes les parties auxquelles le curé lui envoya jouer.
P2 :«Le curé ne put réprimer son envie de se mesurer avec son protégé.» et «Quand le curé entra, poussant devant lui ce garçon de quinze ans […] Le jeune gars resta planté là, le regard timidement baissé, jusqu’à ce qu’on l’appelât à l’une des tables