Le joueur d'echec
Monsieur B raconte alors au narrateur pourquoi et comment il fut enfermé dans une cellule vide par les Nazis, n’ayant rien pour s’occuper hormis un livre d’échecs. Il explique qu’il y a développé une certaine logique ce qui lui a permis, pendant les interrogatoires, de ne dévoiler aucune information aux Nazis. En même temps ces années passées en prison jusqu’à sa libération ont créé chez lui une sorte de traumatisme et l’ont rendu fou d’une certaine façon.
Le jour du défi arrivé, monsieur B remporte la première partie de la plus belle des manières mais il perd la deuxième. C’est alors qu’il se promet de ne plus jamais toucher un échiquier de sa vie.