Le Lac, Méditations poétiques.

Introduction :

Lamartine né en 1790 et mort en 1869 fût une grande figure du lyrisme romantique au XIXe siècle. Cet homme fût très engagé politiquement, et en s’impliquant trop dans une affaire il eu ordre de s’exiler. Mais il ne pu faute d’argent.
Le Lac dédié à sa défunte maîtresse est tiré de son recueil : Les méditions poétiques.

LECTURE DE L’EXTRAIT

En quoi ce poème est représentatif du lyrisme et de la supplication du temps qui passe ?

Plan :

L’obsession du temps qui passe.

Un temps insaisissable.

Champs lexical du temps « Toujours, Eternel, Jour, Année, Ages… »
Métaphore filée du temps. (Carpe Diem de Ronsard)
Opposition des deux parties. Imparfait puis présent.

L’homme fragile et impuissant.

Un temps capricieux vers 30 « Le temps m’échappe et fuit. »
Impuissance de l’homme : Utilisation de la voix passive vers 30.
Le rythme du poème : Vers courts et longs alternés déstabilisent le lecteur.
Parallélisme de construction vers 14 et 35.

Le poète est mis en sa condition d’homme et seule la nature peut l’aider car elle est garante du souvenir.

La nature garante des souvenirs.

Un havre harmonieux.

Cadre du bonheur vers 6, 16 et 18 « Flots chéris, Flots harmonieux, Rivage charmé. »
Champs lexical des éléments « Eau, Terre… » cela révèle les sentiments du poète.

Correspondance entre le paysage et les sentiments du poète.

La dernière strophe est optimiste.
La personnification de la nature en ses propres sentiments avec les adjectifs qualificatifs romantiques.

Conclusion :

Pour conclure, l’étude des 9 premières strophes du poème nous révèlent l’impuissance de l’homme et le thème abordé, le lyrisme propre au mouvement romantique.
Le poème El Desdichado de Gérard de Nerval a beaucoup de points communs avec Le Lac par le désespoir du poète et les nombreuses allusions à la nature.
« Je suis le Ténébreux, le Veuf, l’Inconsolé, Le Prince