Le libre échange
Avec une valeur du commerce mondial qui a plus que doublé depuis 1947, le libre-échange représente dorénavant un outil économique non négligeable dans la croissance d'un pays. Le libre-échange est une théorie libérale visant à la libre circulation dans le monde des biens et services, des capitaux et des êtres humains. Mais ce type de politique économique est-il efficace dans une économie contemporaine telle que nous la vivons c’est-à-dire confrontée à un choc économique ? L’état peut-il utiliser cet instrument afin de relancer l’économie ? A contrario doit-il surveiller et réglementer d'avantage cette théorie du libre-échange qui peut s’avérer être un danger pour le pays ? Il sera intéressant d’étudier, dans une première partie, de quelles façons la mise en place d’une politique de libre-échange à permis, depuis 1947 un élargissement du marché et un avantage pour la plupart des agents économiques. Nous nous appuierons donc pour ce faire sur la théorie néo-classique qui prône la libéralisation des marchés à travers notamment l'analyse de l'économiste écossais Adam Smith et celle de l'économiste Britannique David Ricardo. Dans une seconde partie, il sera mis en évidence les limites de cette politique du libre-échange.
Le libre-échange : un atout important de la politique économique française.
Définition du libre-échange.
Le libre-échange est une théorie qui est apparue au cours du XVIIIème siècle grâce à l'économiste Adam Smith. En effet Adam Smith met en avant trois points fondamentaux du libre-échange. Dans un premier temps la confrontation des intérêts égoïstes des agents économique mènerait à l’intérêt général. De plus selon sa vision économique il serait absurde de faire chez soi un produit ou un service qui coûterait moins chère ailleurs. Enfin le marché doit pour être efficace s’étendre et devenir