• A la base de l’épidémie de VIH/SIDA, on trouve notamment l’i- négalité entre les hommes et les femmes : ces dernières ont un moindre contrôle de leur corps et de leur vie.
• Pratiquement partout dans le monde, il est culturellement ac- cepté que les hommes aient divers(es) partenaires sexuels et que les femmes soient fidèles. Ce schéma de pensée augmente les risques de contamination.
• Dans de nombreuses régions, les femmes sont dépendantes des hommes. Elles ne peuvent posséder de terres et n’ont pas accès aux moyens financiers. Sans revenus, ces femmes sont plus vul- nérables aux abus de pouvoir.
• La violence et la menace de violence rendent la protection des femmes contre le VIH/SIDA plus difficile. Elles risquent d’être battues si elles insistent pour avoir des rapports protégés. Les rapports protégés sont évidemment impossibles dans les nomb- reux cas d’abus sexuels et de viols, domestiques, extra-domes- tiques ou perpétrés lors de conflits.
• La pauvreté pousse les femmes à adopter des comportements à risques. Pour nourrir leur famille, les femmes doivent parfois se prostituer. En Afrique australe, les hommes âgés ont recours aux services de jeunes filles en échange d’argent, de nourriture ou de biens divers.
• L’inégalité hommes-femmes, la pauvreté et la violence stimu- lent l’épidémie de SIDA. Pour en savoir plus, consultez le rap- port “Women and HIV/AIDS : Confronting the Crisis” sur www.unifem.org • A la base de l’épidémie de VIH/SIDA, on trouve notamment l’i- négalité entre les hommes et les femmes : ces dernières ont un moindre contrôle de leur corps et de leur vie.
• Pratiquement partout dans le monde, il est culturellement ac- cepté que les hommes aient divers(es) partenaires sexuels et que les femmes soient fidèles. Ce schéma de pensée augmente les risques de contamination.
• Dans de nombreuses régions, les femmes sont dépendantes des hommes. Elles ne peuvent posséder de terres et n’ont pas accès aux moyens