Le moi social
. Dans la phrase « Sa présence est plus ou moins marquée selon les hommes ; mais aucun de nous ne saurait s’isoler d’elle absolument », Bergson, indique que le « moi social » n’est pas identique chez tous les hommes, chacun a une présence de ce « moi social » qui varie, selon l’importance que nous accordons à la société. « Il ne le voudrait pas, parce qu’il sent bien que la plus grande partie de sa force vient d’elle… » Cette phrase montre que malgré la variation de ce moi social entre chaque hommes, aucun d’eux ne veut tenter d’isoler, d’oublier ce moi social, car c’est dans le « moi social » que l’homme réussit à puiser de l’énergie. « …cette constance de direction dans l’effort, qui assure à son activité le plus haut rendement. » Cet extrait de phrase, nous indique que c’est grâce à l’énergie puisé dans le « moi social » que la qualité du travail de l’homme est à son paroxysme. « Mais