Le mondain
En effet, dans le mondain Voltaire cherche à persuader le lecteur que sa théorie sur le bonheur matériel de l'âge de fer est la meilleure « ah ! le bon temps que ce siècle de fer !». C'est pour cela qu'il critique, implicitement, l'âge d'or par l'utilisation de la satire « Regrettera qui veut le bon vieux temps. Et l’âge d’or et le règne d’Astrée. »
C'est pourquoi ce texte présente tout d'abord, la critique de cet âge d'or « Qui, pour mon bien m’a fait naître en cet âge, Tant décrié par nos pauvres docteurs », pour en venir ensuite à l'éloge de l'âge de fer « Qui, du Texel, de Londres, de Bordeaux, S’en vont chercher, par un heureux échange, De nouveaux biens». Puis à la fin du texte il critique de nouveau l’âge d’or « Il leur manquait l’industrie et l’aisance, est ce vertu ? C’était pur ignorance. ». On comprend par ce fait qu'il dénonce le bonheur d'un autre monde, comme le monde religieux « la recherche du monde terrestre l’emporte sur l’attente du salut éternel » et qu’il fait l’éloge de son époque, « le paradis terrestre est la où je suis ».
Au contraire chez Bernardin de Saint pierre qui lui montre le bonheur a travers la simplicité car malgré le statut social des personnes présentent sur le bateau ils sautent tous a l’eau pour se sauver du naufrage « Tout l’équipage, désespérant alors de son salut, se précipitait en foule à la mer [...] il n’en restait qu’un sur le pont […] a cette terrible vue le matelot s’élança seul dans la mer», Virginie