Le monde des étudiants : conduites à risque
Sociologie licence 1 – groupe 5
Modes d'enquête
1) Proposition d'une problématique
Le thème initial étant « Santé, fatigue et problèmes de sommeil chez les étudiants de première année en lettres et sciences humaines », j'ai décidé, après avoir consulté la base des résultats du questionnaire, de me pencher plus précisément sur la question des conduites à risques chez les étudiants et l'influence des conditions de vie sur ces dernières. Ma question de départ est donc la suivante :
Quelle influence peut-on observer entre les conditions de vie des étudiants et leur tendance à adopter des pratiques à risque ?
Tout d'abord, je vais préciser la définition des « conduites à risque » sur laquelle repose mon travail. J'entends par là les pratiques jugées dangereuse pour la santé physique et mentale de l'étudiant, qui se traduisent souvent par la consommation de substances légales ou non (tabac, alcool, stupéfiants...).
J'émets donc les hypothèses suivantes :
→ il y a une influence du talon sociologique de l'étudiant sur la probabilité qu'il ait des pratiques à risque
→ les conduites à risque des étudiants sont réparties de manière sexuée
→ les pratiques à risque les moins « extrêmes » (tabac, alcool) ne sont pas influencées de façon évidente par l'origine sociale ou la situation sociale actuelle
→ le lieu d'habitation et les sources de financement des études sont en relation avec la tendance à la prise de risque.
2) Exposé des tableaux statistiques choisis :
a) La répartition sexuée des pratiques à risque :
Tableau 1 : Répartition sexuée de la prise de cannabis en pourcentages :
Consommation de cannabis
Sexe
Oui
Non
Ne se prononce pas
Total
Garçons
46.40%
51.20%
2.40%
100.00%
Filles
31.20%
67.00%
1.80%
100.00%
Tableau 2 : Répartition sexuée de la prise d'ecstasy en pourcentages :
Consommation d'ecstasy
Sexe
Oui
Non
Ne se prononce pas
Total
Garçons
1.20%