Le "non" irlandais
La diversification culturelle des sociétés modernes apporte avec elle une revalorisation du rôle de citoyen, les années '90 ont été marquées par des transformations historiques comme les transitions postcommunistes, la crise de l‘état de la prospérité, la globalisation économique et culturelle, qui ont influencé l’évolution de la connaissance civique et de l’éducation a la citoyenneté. C’est pour ca que Ralf Dahrendorf a nommé cette période « la décade de la citoyenneté ». On peut dire que les ’90 représent le moment ou la citoyenneté commençaient a renaitre et a prendre la forme d’une vertu parce que je pense que dans toutes les périodes difficiles caractérisées par des crises et des dilemmes, on invoque l’idéal civique comme une espérance, come une solution et comme un nouveau début de la civilisation. Mais dans de telles conditions l’éducation à la citoyenneté reste toujours le moyen le plus efficace pour établir un contracte social qui a comme base les droites et les responsabilités des citoyens qui peuvent restaurer la cohésion sociale, la solidarité et l’ordre morale.
Beaucoup d’organisations intergouvernementales ou ‘non gouvernementales’ ont compris que l’éducation civique signifie l’apprentissage du comportement démocratique par l’intermède de diverses expériences ou pratiques sociales et je veut donner l’exemple d’une expérience personnelle qui représentait pour moi une très intéressante leçon de citoyenneté : la participation a des simulations de diverses institutions communautaires nationales ou européennes. Les dernières institutions considèrent que l’adjectif démocratique souligne le fait qu’ il s agit d’une citoyenneté qui repose sur les principes et les valeurs du pluralisme, sur l’ importance prioritaire des lois sur le respect de la dignité humaine et de la diversité culturelle vue comme une richesse.
Ainsi