Le reflet extrait de la main courante de didier daeninckx commentaire litteraire
Nous allons tout d'abord analyser le portrait en action d'un personnage odieux. En premier lieu, il s'agit d'un personnage autoritaire. Ainsi dans ses conditions de vie il y a un champ lexical du luxe avec des termes comme «surpayes» ainsi que la mention des «grands frais» pour faire venir à domicile la «sommites» medicale et le «bloc operatoire» qui font de ce vieillard un homme riche. Ensuite le mot «château» dans lequel on vit «en complete autarcie» donne l'impression d'être au moyen age, notamment à cause du champs lexical du travail de la paysannerie : «cultivant le ble», «cuisant le pain», «elevant le betail», d'oú la position du seigneur face à ses vassaux. Il regne en maitre comme le montre le terme «allegeance». Il traite ses emplyes comme des esclaves qui lui sont entierement devoues. L'hyperbole «vingt-quatre heures quotidienne» l'illustre.
Par ailleurs dans le groupe nominal «ses gens» le determinant possessif «ses» reduit les domestiques à de simples possessions.
De la même façon dans le groupe verbal «lui devaient» le pronom personnel en position de COI justifie que le vieillard se prend pour l'unique centre d'intérêt de son entourage, de plus, le verbe «devoir» souligne les nombreuses obligations dans cette hyperbole. En outre, l'aveugle s'offre le luxe hebdomadaire à la maniere de Louis XIV des «cantatruces» et de «l'opera» c'est à dire de faire venir et d'organiser des spectacles dans son château.
Cette autorite s'exerce verbalement