le rire
Le philosophe Bergson répond à la question :qu’-est-ce que ce que est risible ?
Il est rejoint dans cette analogie par la citation de Didier Erasme : « Rire de tout ce qui se fait ou se dit est sot, ne rire de rien est imbécile ».
M. Val quant à lui, montre que l’humour renvoie à des problèmes subtils et complexes de rapport socioculturel au comique, notamment sur des sujets sensible.
Desmedt Gérard rappelle que le rire peut atteindre à la dignité des personnes, alors que le document 5 prouve que l’humour doit être adaptatif selon l’auditoire ainsi que la citation de Pierre Desproges : »On peut rire de tout mais pas avec tout le monde ».
Le philosophe Henri Bergson analyse les choses qui nous font rire. L’auteur fait tout d’abord remarquer que le rire s’applique toujours à ce qui est proprement humain. En effet il précise qu’il existe deux types comiques. La première étant produit par accident ;la pierre pour le joggeur et par une tierce personne qui s’amuse à bousculer les habitudes en déplaçant tous les objets, c’est un comique de surface. Le deuxième étant le comique qui est le propre fait de la personne, un humoriste par exemple.
Un paysage peut-être beau, insignifiant ou laid mais ne sera jamais risible. Nous rions des gens quand il se comporte d’une manière qui donne l’apparence d’un simple mécanisme.
Ordinairement nous attendons des gens qu’ils observent ce qui se passe autour d’eux et qu’ils adaptent leur comportement en conséquence. Quand quelqu’un déroge à ce principe comme le joggeur ou une personne qui procède par habitudes on rit d’elle.
M. Val pose indirectement cette question : « est-il possible de critiquer des sujets sensibles comme la religion ? » A travers ces caricatures il interpelle l’opinion en dénonçant les pratiques humaines pour justifier la violence à travers certaine interprétation humain de récit dans des livres religions. Il ridiculise et condamne des faits qui se sont passés et