Le roman policier et la science fiction ne servent-ils qu'au divettissement ? (plan + rédaction d'une partie)
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Le roman policier et la science fiction sont des termes qui ont toujours été discutés. La définition la plus commune du premier est un récit qui tourne autour d’un crime, qu’il soit déjà arrivé ou non. Le plus souvent, nous avons aussi à suivre une enquête, menée par la police ou par un détective. Le second est plus difficile à définir, mais on peut dire que c’est un roman qui montre des choses qui n’existent pas dans la réalité, où tout du moins dont nous n’avons pas connaissance à ce jour. Nous allons donc étudier en quoi ces deux genres sont différents du simple divertissement. Pour ce faire, nous allons d’abord voir où se trouve le divertissement dans le roman policier puis dans la science fiction, puis comprendre ce que peuvent nous apporter ces deux genres.En premier lieu, nous allons réfléchir à l’aspect divertissement qu’ont le roman policier et celui de science fiction.
I – Divertissement 1) Les romans policiers :
Sortir du quotidien, de la routine.
Se mettre à la place du policier pour trouver le coupable (Whodunnit). 2) La science fiction :
Changer d’environnement, soit temporel soit spatial
S’éloigner de sa vie et, comme dans La nuit des temps de Barjavel, découvrir de nouveaux « moyens » qui n’existent pas, comme la congélation, puis décongélation deux personne d’une vie éloignée.
On voit donc que ces genres de textes servent bien au divertissement. Nous allons ensuite nous intéresser aux avantages plus précis de ces genres.
Dans les romans policiers, la critique peut prendre une place très importante, comme on peut le voir dans le roman L’analphabète de Ruth Rendell, où une atmosphère étouffante et presque lugubre est créée autour de la famille Coverdale, pourtant d’apparence parfaite. Ici se présente donc la critique de la petite bourgeoisie du XXe siècle. En plus de celle-ci, une critique plutôt dirigée vers la société est mise en place. Les détectives, pourtant très reconnus, de Scotland Yard, sont tournés en dérision,