Le roman ?
Le roman, intérêt ?
Pour beaucoup de personnes, un roman leur semble bénéfique, car il met en avant un sentiment un idéal ou encore une volonté. Dans cette optique, cette « fiction » a donc un but, un message, une volonté à transmettre, la plupart du temps, une sensation ( M.Higgins-Clarcks ). On dit souvent « ce livre m’a fait voyager », mais pourquoi ? L’auteur, avec un grand talent, bien sûr, utilise une psychologie ciblée et les sentiments humains du lecteur, (sa conscience entre autre), pour essayer de le transporter dans son monde de rêve et d’imaginaire. Grace à une tournure, un procédé ou une expression, il arrive à rendre une image fictive, un ressenti réel, mentale ou physique du lecteur. C’est intéressant ; ceci démontre qu’un écrivain dont les talents sont reconnus, arrive donc à comprendre la pensée humaine, donc plus généralement l’Humanité, car il créé un message sait le transmettre, et transporte les lecteurs dans sa fiction.
Tous ces grands romanciers, tels que Conan Doyle, Aghata Christie, Marry Higgins Clarcks, Jean-Claude Izzo, Fred Vargas qui narrent la manière dont un détective transforme l’inconnu en connu grâce à des hasards heureux et des intuitions plus ou moins mystérieuses est assez exptionnel. Par conséquent, le noyau de la littérature semble être le fait de confronter un héros à un élément imprévu : ses choix, ses obligations et leurs conséquences. Je cite, Stendhal : « Le roman est un miroir que l’on promène sur la route » Qu’il soit réaliste, symbolique, surréaliste, fantastique, ou causal, il ne fait que copier l’existence dans sa dimension hasardeuse.
Le hasard dicte notre vie, on pourrait l’appeler destinée, karma, futur, ou avenir selon notre philosophie, notre opinion ou notre religion, il existe sous différents noms mais reste présent.
Pour moi la littérature, même si elle est puissante et structurée, n’est que rêves et fantasmes. Je n’aspire pas à la copie, mais la réalité qui