Le rythme circadien
Les rythmes circadiens sont construits en deux parties : une partie exogène qui comprend les rythmes des facteurs de l’environnement aussi appelés synchroniseurs, et une deuxième partie endogène qui différemment correspond à un rythme génétiquement déterminé persistant après une élimination des informations périodiques de l’environnement. Ces derniers sont réglés par le temps, ou plutôt synchronisé par des éléments de la vie de tous les jours tel que les heures de repas, les cycles jour-nuit et aussi les alternances entre les périodes d’activités et de repos. La fonction d’organisation synchronisés de rythmes biologiques est menés par une dizaine de milliers de neurones appelés les noyaux suprachiasmatiques. En fait ces structures de plusieurs neurones à l’intérieur de notre cerveau reçoivent des informations de notre environnement par un signal photopériodique capté directement par la rétine. C’est un synchroniseur majeur dans les rythmes circadiens.
Evidemment, il peut y avoir désynchronisation de ces rythmes circadiens et donc qui engendre une perturbation dans le rythme biologique. La désynchronisation peut être due à une élément de l’environnement et sa modification, comme par exemple dans un vol transméridien de cinq fuseaux horaires. On dit alors que ces perturbations sont externes. A l’inverse, il existe une perturbation dite interne, qui à l’inverse, ne dépend pas des éléments de l’environnement. Elle est due à la vieillesse, ou aussi a certain types de maladie comme la dépression ou le cancer.
Ces deux perturbations du rythmes circadiens s’accompagne toujours, qu’elle soit externe ou interne, de troubles de l’appétit, de trouble du sommeil avec ainsi une mauvaise qualité de sommeil et donc aussi de fatigue.
Le rythme circadien est généré par notre horloge moléculaire. Ainsi, chez l’enfant il s’établit après 4 semaines de sa