Le sabotage amoureux de amélie nothomb
L'œuvre appartient au genre du roman autobiographique. En effet, on y retrouve le schéma narratif typique du roman : l'introduction (qui présente les éléments nécessaires à la mise en route du récit et à sa compréhension, dans un récit au passé, les verbes y sont souvent à l'imparfait comme c'est le cas dans ce roman), l'élément déclencheur ou perturbateur (qui modifie la situation initiale et qui lui fait perdre son équilibre), les péripéties (qui sont les évènements provoqués par l'élément perturbateur et qui entraînent les actions entreprise par l'héroïne pour atteindre son but), le dénouement (qui met un terme aux actions et conduit à la situation finale) et la situation finale (qui est le résultat, la fin du récit). L'auteur adopte une narration à la première personne ( « je ») et on remarque une fusion étroite entre l'auteur et son personnage principal c'est à dire elle-même. Ce roman est une autobiographie d'Amélie Nothomb où elle raconte son enfance entre cinq et sept ans en Chine, à Pékin. L'auteur choisit aussi le genre du roman autobiographique pour désigner, car pour elle, le roman relate son expérience de cinq à sept ans, elle est le personnage et elle a vécu tout ce qu'il a vécu.
Faire un résumé du déroulement, du contenu de l'œuvre.
Amélie Nothomb, fille de l'ambassadeur belge Patrick Nothomb raconte dans son roman sa vie en Chine, à Pékin entre 1972 et 1975 (de cinq à huit ans). Ayant été obligé de déménager de son Japon natal à cause des affectations de son père, en Chine. Amélie découvre la Chine, pays communiste où « il y a des ventilateurs ». Installé dans le ghetto de San Li Tun, ghetto des ambassadeurs, les enfants, pour s'amuser jouent à se faire la guerre. Entre coups bas et humiliations, tout est permis pour vaincre les ennemis qui sont les Allemands de l'Est. Un jour pourtant, sa vie bascule lorsqu'elle voit Elena,