Le siècle des antonins (96-192 apr. j.-c.), entre ruptures et continuités.
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Le siècle des Antonins est souvent cité comme l’âge d’or, l’apogée de la Rome Antique. D’ailleurs, jamais les sociétés antiques n’avaient jamais rien connue de semblable : les Romains ont quitté leurs uniformes de guerre pour s’adonner à la joie de vivre, une joie de vivre qui illustre bien l’administration parfaite de Rome, ses frontières maintenues dans un empire cohérent. Ce siècle des Antonins est marqué par un embellissement des villes, une augmentation des richesses et une certaine prospérité de la population, ce qui marque une certaine rupture face aux anciens siècles de guerres qu’à connu l’Empire Romain. Cependant à partir de 162, la guerre revient avec Marc Aurèle, cet empereur qui veut la paix par la guerre. Ce qui marque une certaine continuité avec les siècles précédents. On peut alors se poser la question suivante : est ce que « l’âge d’or » des Antonins n’est finalement qu’une illusion de paix ? Pour répondre à cette question nous verrons tout d’abord dans une première partie la rupture mise en place par Antonin le Pieux face aux siècles de guerres précédents, puis dans une seconde nous verrons la continuité exercer par Marc Aurèle, l’empereur de la guerre.
L’âge d’or des Antonins, rupture face aux siècles de guerres précédents.
Un empereur aimé.
Un long règne paisible et prudent.
Règne d’Antonin le Pieux, une totale rupture face aux règnes des anciens empereurs. Le règne de Marc Aurèle ou la lignée des anciens empereurs Romains.
Marc Aurèle : le devoir d’être empereur.
Des Guerres permanentes.
La continuité des Anciens.
Pour conclure, nous pouvons dire que le siècle des Antonins est marqué par des empereurs complètement différents, chacun ayant un but bien précis : rendre hommage aux Anciens sous Marc Aurèle ou vivre d’un règne très prudent sous le signe de la prospérité sous Antonin le Pieux… Ce siècle est donc marqué par des ruptures et des continuités avec les siècles précédents.
Bibliographie : LE GLAY, Marcel,