Le sonnet 138 des Regrets---Du Bellay
La deuxième strophe, écrite en déclarative, est en particulier remarquable pour son utilisation de l'inversion. Aux deuxième et troisième vers de cette strophe, les mots "Rome" et "Asie" sont mis au début des phrases et devant le sujet "on", pour créer une impression plus forte et plus vive. Plus, la rime “monde” “feconde” “abonde” “seconde” renforce la splendeur et le prestige de ces pays. Étant attirée par ce parallélisme des villes abondantes, les lecteurs peuvent donc comprendre sans peine le niveau de richesse à Paris.
Ensuite, on voit que les deux dernières strophes sont aussi composées de deux phrases déclaratives. En utilisant un enjambement entre "mon œil" et "prit ébahissement", ces deux strophes forment une cohérence de sens. Cependant, bien que le poète qui ne peut pas "s'émerveiller des choses plus étranges...prit ébahissement", il tourne son regard à la fin du sonnet vers des choses désagréables de cette ville, comme "badaude populaire" "la presse des chartriers" "les procès" et "les fanges". Il est donc apparent que le poète finit le sonnet par une dommage mineure, ce qui correspond aussi à des sentiments mélancoliques partout dans ses œuvres et au titre de ce recueil ---"Les Regrets".