L’importance du sport dans la société est telle que l’ONU ainsi que les autorités gouvernementales utilisent le sport comme moyen d’apaiser les tensions en vue d’une pacification des relations entre les pays, ou même entre les individus. Il est une idéologie qui se veut réunificatrice et intégratrice. Selon le dictionnaire Larousse, le « sport » est un ensemble des exercices physiques se présentant sous forme de jeux individuels ou collectifs, pouvant donner lieu à des compétitions. De même que le terme « adoucir » est le fait de rendre plus doux à la vue, au toucher, etc. et de tempérer quelque chose. Les « mœurs » selon la même source sont des pratiques sociales, usages communs à un groupe, un peuple, une époque. En ce sens, le sport d’aujourd’hui adoucirait les liens entre les pays, individus ou races, et donc les mœurs. Or, certaines habitudes sociales restent inchangées ou pire, s’aggravent et éloignent les individus entre eux via la vitrine sportive, avec la montée des activités frauduleuses, de la violence ou l’utilisation du dopage à outrance…
Le sport adoucit-il les mœurs ?
Nous verrons tout d’abord en quoi et comment le sport adoucit les habitudes sociales, puis nous finirons par les échecs d’une utilisation « thérapeutique » du sport par les organismes.

Avant tout, je trouve que la pratique sportive est bénéfique pour la santé et la forme physique. En effet, le sport a des effets très positifs dans la prévention et sur l’évolution d’un certain nombre de maladies comme le diabète, cardiovasculaires (première cause de mortalité en France) et l’activité physique permet d’en prévenir leur apparition. Je fais du sport d’ailleurs pour avoir la forme et pour ne pas à avoir un physique désobligeant et une santé contraignante. Ce sont les premiers facteurs des bienfaits du sport. Selon une étude de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE), 71 % de la population âgée de plus de 15 ans pratique une ou plusieurs activités