Depuis longtemps, la violence est présente dans le sport que ce soit au niveau verbal ou physique. Une des premières formes de violences apparue massivement dans les années 1960 est le hooliganisme. Celle-ci a été précédée d’une violence « politique » lors des jeux de Berlin en 1936.
Cependant, le sport est il automatiquement relié à la violence ou est-ce un fait annexe ?
Il est vrai que l’on retrouve différentes formes de violence dans le sport mais il ne faut pas oublier les valeurs et la discipline inculquée par celui-ci.

Effectivement, nous pouvons voir apparaitre une violence à travers le sport qu’elle soit purement physique ou verbal, politique ou sociale.
Lors du match de football a Zaghreb en 1990, une véritable violence physique et politique c’est abattue sur les joueurs et les spectateurs. Une violence caractérisée de physique est alors allié à une violence politique qui amène deux peuples à s’affronter. C’est alors que l’on peut se demandé quelle est le but de telle actes durant un match de football. Le sport à pour cet exemple ci, la fonction de véhiculer les tensions et les maux du peuple en violence extrêmement brutale. Le sport perd alors tout son sens, on passe d’un moment de divertissement, de dépassement de soi l’expression belliqueuse d’une guerre proche. (Ici la guerre ravageant l’ex Yougoslavie). De nombreuses personnes se servent du sport pour exprimer non pas leurs talents mais exprimer leur haine, leur désespoir. Ceci car les stades de sport sont remplis, c’est donc un bon moyen de faire comprendre nos malaises à une grande partie de la société.
De plus, lors des jeux olympiques de Berlin en 1936, nous avions ici une violence totalement politique basée sur la ségrégation et le racisme. Seulement les sportifs de race arienne pouvaient prétendre au titre. Ces caractères ségrégatifs étaient souvent accompagnés de violences inouïes dues à la politique du gouverneur. Les valeurs du sport ont donc été oubliées car les enjeux politiques