Le séisme de l’algérie (boumerdés) en 2003.
D'un coup tout bougeait autour de nous, des hurlements viens de par tout, les lits superposer se cogner entre eux, la porte ne voulait pas s'ouvrir.
Par la fenêtre je voyais les pavions se tordirent à presque se toucher, le toit du gymnase vibre tellement en fessent un bruit assourdissent, il a fini par s'en voler en s'éparpillent dans les quatre coins de la cour en fessent des blessées.
Une grande foule paniquée sorte d'une petite porte du réfectoire, en se bousculant et en se piétinant les un les autres comme un troupeau d'animaux sauvages dans la savane, qui essayent d'échappent ou griffes d'un lion.
En face une autre folle descendent l'escalier de la bibliologique en sursaute, comme une vague géante elle rase tout sur son passage et qui s'échoue sur le trottoir de l'immeuble. L'escalier et la moitié du bâtiment s'effondre, les filles se relevaient entre les gravas, leurs visages rouge de sang, une scène terrible digne d'un film d'action.
Des pompiers et des ambulances défilent dans les petites ruelles de la cité toute la soirée, ils transportent les blessées aux hôpitaux les plus proches.
Et nous, les résidantes qui sont sorties indemnes, on a passé la nuit à la belle étoile, coucher a même le sol dans le parking de la cité.
Les jours qui suivent on dormait dans des tontes dans une chaleur atroce, sans eaux ni électricité et les autorités nous approvisionnent des repas froids, un mois entier en manger que pains et au formage.
La cité n'a pas résisté au tremblement de terre malgré qu'elle fût ouverte que quatre ans