Le premier argument de Madame Pernelle est qu’il faut écouter Tartuffe et suivre tous ce qu’il dit car c’est un exemple. Damis rétorque aussitôt avec une exclamation d’indignation (quoi !) en utilisant une image dévalorisante (cagot de critique). Pour Damis et Dorine personne ne peut rien faire sans la permission de Tartuffe sinon c’est considéré comme une mauvaise chose : « On ne peut faire rien qu’on ne fasse des crimes.» Ils sont prisonniers du contrôle de Tartuffe. Cependant Mme Pernelle enchaîne en exposant son second argument. Grâce à Tartuffe ils iront au Paradis, pour cela il mérite d’être aimé. De plus elle ajoute qu’il est maître de ce qu’il fait avec une anaphore du mot contrôle : « et tous ce qu’il contrôle est fort bien contrôlé ». Damis répond que se serait contre ses principes que de suivre les manières de Tartuffe qu’il désigne par une image dévalorisante ( pied plat ). Il ajoute que s’il faut il ira s’opposer au dévot. Dorine dit que c’est honteux de s’introduire chez des gens et de se proclamer maître des lieux. Elle utilise également une image dévalorisante ( gueux ) pour désigner Tartuffe. Pourtant Mme Pernelle reprend la parole avec une exclamation d’indignation ( hé !) et rétorque que le monde serait meilleur si tartuffe était aux commandes. Dorine lui répond qu’elle est aveuglée et que c’est un hypocrite. Mme Pernelle lui reproche d’être une mauvaise langue. Dorine enchaîne en disant qu’elle ne fait pas confiance à Tartuffe et qu’il n’a pas de bon garant. Madame Pernelle réfute l’argument de Dorine en utilisant une affirmation catégorique ; elle se porte garante pour lui. De plus elle utilise une métaphore hyperbolique en le décrivant comme un saint : « c’est contre le péché que son cœur se courrouce et l’intérêt du ciel et tout ce qui le pousse ». Dorine avance l’argument que Tartuffe essaye d’empêcher les visites que reçoit la famille et après deux questions oratoires pour attirer l’attention de Mme (