Le texte d'albéron
« Définies l’une et l’autre par la sagesse, qui est la mère de toute vertu » : L’auteur ici développe sa pensée en ce qui concerne ces lois, Il explique ainsi dans la première partie de la phrase que celle-ci ont été pensées avec une certaine raison, une certaine clarté et que donc logiquement, il ne pourra en découler que quelque chose de positif.
« L’une, La loi divine ne fait aucune différence entre ses ministres, selon elle, ils sont tous égaux de conditions, si différents entre que la nature ou leur aient pu les faire naître, un fils d’ouvrier n’est pas inférieur à l’héritier d’un roi. » La première de ces lois qui ont dont pour objectif premier d’installer la paix durablement est la loi divine, celle-ci pose des bases d’égalités entre les hommes, l’auteur nous le fait comprendre en disant « ne fait aucune différence entre ses ministres » c’est-à-dire que sous cette loi divine, ils sont tous reconnus comme étant égaux et qu’il n’est pas nécessaire de faire de distinction et cela pour une raison bien précise. En effet, « ils sont tous égaux de conditions » cette égalité proviendrait du fait qu’ils partagent tous la même condition devant Dieu et cela même s’applique même à l’héritier d’un roi ou un simple fils d’ouvrier, devant Dieu ces hommes sont égaux et partagent la même condition.
« A ceux-là, cette loi clémente interdit toute vile occupation mondaine » : Ici l’auteur nous fait comprendre que cette qu’il