Le dîner chez les libertins

4350 mots 18 pages
LA Dînr chez ValenodLe dîner chez les Valenod

1 « Jamais Julien n'était allé »
Courte analepse. Tout le § va être centré sur le point de vue de Julien, son passé, ses impressions L'analepse permet d'insister sur le fait que c'est pour le héros l'occasion d'entrer dans un monde nouveau, une nouvelle épreuve
2 « cet homme »
L'usage du déterminant possessif est à consonance péjorative
Le sentiment qui prévaut est sans doute le mépris ce que confirme l'information suivante 3
« il ne songeait qu'aux moyens de lui donner une volée de coups de bâtons sans se faire envoyer en correctionnelle »
ØLe verbe « songer » confirme l'emploi du point de vue interne du personnage ØLa tournure restrictive
« ne..que » marque l'exclusivité ØUne « volée de coups de bâton » fait songer au lexique de la comédie tel qu'on l'emploie dans Les
Fourberies de Scapin par exemple
Tous ces éléments confirment le mépris de
Julien pour Valenod.
Soupçonné d'avoir envoyé à Rênal la lettre anonyme sur les frasques de sa femme, il n'est bon qu'à être puni selon le châtiment infligé aux valets ou aux paysans . Ces mêmes coups de ba^ton
seront
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Conclusion : Si la peinture de l'univers des Rênal et en particulier le traitement du maire fait apparaître des intentions critiques et parfois satiriques – notamment dans la façon dont Rênal s'accorde de petits arrangements avec ses fonctions pour

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