Le portrait ovale edgar allan poe
Correction des questions IV/ n°1 à 13
1) Nouvelles extraordinaires 2) Charles Baudelaire, en 1854
3) Le passé simple (utilisé pour les actions passées, de premier plan Ex : nous nous installâmes, je pris, je lus, je contemplai, tombèrent ...) et l’imparfait (utilisé pour les actions passées, de second plan qui durent ou se répètent Ex : j’étais, rendait, désirais, me déplaisait, avait…)
4) … …afficher plus de contenu…
Le seul éclairage est un grand candélabre. l.20
7)Lignes 32 à 50 Les expressions qui prouvent que le narrateur a du mal à croire à ce qu’il voit sont :
« un effet absolument inattendu » l.32
«Je fermai les yeux(…) je ne compris pas moi-même tout d’abord... » l.40
« Ce mouvement involontaire pour gagner du temps et penser, pour m’assurer que ma vue ne m’avait pas trompé » l. 42 « la stupeur rêveuse dont mes sens étaient possédés »l.49
8) Lignes 51 à 68
Le narrateur est très impressionné parce que le portrait semble être une personne vivante. (l.64-65)
« J’avais deviné que le charme de la peinture était l’expression vitale absolument adéquate à la vie …afficher plus de contenu…
Le peintre décide de faire un portrait d’elle. Elle reste donc de longues semaines assise dans une tour sombre et lugubre pendant qu’il la peint. A mesure que le tableau avance, elle dépérit peu à peu, semble tomber malade, perdre ses couleurs, sans que le peintre, devenu fou, ne se rende compte de rien, emporté par son élan pour la peinture. Au moment même où il met la dernière touche à son tableau, elle meurt mystérieusement. Comme si sa vie était passée de son corps au