Le prince doit-il être bon ?

2360 mots 10 pages

Réflexions sur la problématique Machiavel, la modernité politique et la morale
Sujet d’exposé : Le prince doit-il être bon ? Introduction : Accroche : En 1998, EM rédige sa thèse sur Machiavel, Le Fait politique et la
Représentation de l'histoire chez Machiavel .
Ceci montre bien que la pensée machiavélienne fait encore aujourd’hui l’objet de réflexions, bien que nos sociétés aient progressé vers le réalisme politique.
Présentation de l’oeuvre : Le Prince …afficher plus de contenu…

Il vise à permettre à Laurent de Médicis d’unifier l’Italie en prenant le pouvoir sur les nombreux royaumes qui la composent. Définitions des concepts : Le “prince” chez Machiavel renvoie au monarque. Mais, par extension, le prince incarne l’autorité qui détient la réalité du pouvoir dans n’importe quel type d’Etat.
Louis Althusser donne au prince machiavélien la def suivante : “le prince de M est un souverain absolu à qui l’Histoire “confie une tâche”décisive: celle de “donner forme” à une matière existante, matière aspirant à sa forme, la nation”. Le prince "doit' il être bon : devoir et condition -> sous entend que c’est une condition …afficher plus de contenu…

Dès lors, à quoi bon détenir ces vertus, vouloir se conformer à tout prix à un idéal moral en politique, si le Prince est finalement “bon” mais incompétent, et incapable de protéger ses propres sujets ? Thèse : Si le prince est bon, ce n'est pas au nom de la morale, mais au nom de la Raison d'Etat. Le prince ne doit pas être bon dans l'absolu mais doit l'être si c'est politiquement

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Commentaire rédigé des animaux malades de la peste
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les vassaux du roi de France. Le roi n'apparaît donc plus comme un suzerain mais comme un souverain, au-dessus de tout. La lettre du pape apparaît donc un bon moyen pour servir l'entreprise royale qui consisté à reconquérir les territoires et s'affirmer sur les….

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il l’enseigne par le soin qu’il prend du royaume tout entier. Et rien n’incite davantagel’âme du roi à bien agir que la clémence de divers princes qu’on propose en exemple, comme la mansuétude de l’empereur Constantin. Mais pourquoi parler de rois étrangers,….

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