Le rouet d'ymphale
Ce topos poétique - antique et courtois[footnoteRef:1] - de l’aimée cruelle est repris dans « Le rouet d’Omphale », étonnamment, sur un mode mythologique et parnassien, dont une note nous apprend qu’il s’agit d’un hommage à la poésie d’André Chénier, d’inspiration souvent hellénique[footnoteRef:2]. [1: Les joueurs de syrinx eux aussi se plaignaient de leurs bergères, et Ronsard.] [2: Référence à Egine et Milet, à la légende d’Omphale et …afficher plus de contenu…
Progrès de l’écriture puisque une ekphrasis est tentée, mais l’écriture pour s’engendrer doit prendre appui sur une autre pièce d’art. Le poème ‘’n’est que’’ description d’un détail sculpté. (Aveu masqué que la poésie de Hugo s’inspire d’un classicisme ?)· Strophe 3, vers 10 à 12 (3 vers) : sorte d’involution de l’inspiration, sorte d’échec de l’imagination poétique, avec un retour à la description prosaïque des objets concrets métonymiques du rouet.· Strophe 4, vers 13 à 24 (12 vers) : tentative