Cours du 22/02/2023Durkheim se base sur la conscience. Le suicide est un acte conscient, il ne vient pas d’une volonté ou d’une intention -> se serait trop opaque. Ce n’est pas possible d’avoir un point de vue subjectif. Le suicide n’est qu’humain, il ne concerne pas les animaux. Il n’y a que l’homme qui présente ses actions. Le monde de la nature est un mécanisme. On peut analyser le suicide et les actes (conduites à risques) par exemple le dévouement. On n’étudie pas que les suicides mais aussi …afficher plus de contenu…

Il va réfuter toutes les explications non-sociologiques. Dans le livre 1. Durkheim veut montrer que le suicide n’est pas causé par des facteurs extra-sociaux.Si on veut comprendre le suicide, il faut complexifié les recherches avec le social et non pas qu’avec le physique, la biologie et la psychiatrie. Le psychique, la biologie, la physique et l’imitation ne permettent pas de comprendre / d’expliquer le suicide. Chapitre 1 : · La vésanie c’est la folie· La nosologie permet de classer les maladies. · La sociologie doit être la médecine de la société.Pas de rapport entre la folie et le taux de suicideSelon Durkheim, il n’existe pas de monomanie -> il est impossible que le cerveau soit déficient sur une seule partie puisque ce n’est pas une machine, il n’est pas constitué de pièces …afficher plus de contenu…

Le suicide maniaque, mélancolique, obsessif, impulsif ou automatique sont des suicides de la folie. Il va réfuter les explications des médecins, car il sait que beaucoup d’actes sont entre la folie et l’esprit sain. La neurasthénie est une pathologie, un trouble psychique. La société ou il y a que beaucoup de suicide correspond à l’endroit ou il y a que beaucoup de névropathes -> Il réfute cette hypothèse en regardant le nombre de personnes interner pour vit les neurasthéniques. La ou il y a beaucoup d’internés, il y a beaucoup de suicides, mais cela ne marque pas. Durkheim dit qu’il était neurasthénique, et c’est pour cela qu’il se pose la question de : « que faire de ces gens