LECTURE ANALYTIQUE 2 Spleen
Lyrisme : vient du grecque « Lura » qui signifie la lyre. Est lyrique ce qui est à l’origine accompagné de musique. Litt. : évocation des sentiments personnels.
Thèmes : Amour – Désamour – La mort – La nature – Le temps.
L’élégie : Poème lyrique – plainte douloureuse liée à une souffrance – en lien avec le Spleen et la mélancolie.
Le Spleen : mot anglais – la rate – vient de la théorie des humeurs d’Hippocrate – signifie mélancolie – ajd. : état dépressif
Comment s’exprime le mal être du poète ?
Univers ténébreux : un ciel bas & lourd – un univers sans couleurs – Le noir mis en avant dans l’oxymore & le dernier mot du poème – paysage morose = ennuie qui domine – Tristesse : description d’un jour de pluie.
Univers carcéral : Champ lexical de l’enfermement impression d’impossibilité d’évasion – Circularité du cercle de l’horizon comparaison couvercle au début – Les éléments naturels enferment (Pluie=Barreaux) – radicalisation de l’enfermement (cercueil) – champ lexical de la mort – Enfermement progressif : Nature-Cachot-Crâne.
Vision cauchemardesque : sous le regard du poète métamorphose du paysage en mal Dénaturation de la lumière, terre = cachot – poète inquiet = paysage inquiètent – objets qui s’animent de manières effrayantes (cloches) concepts : (Allégorie de l’Espérance en Chauve-souris) – Le drapeau noir – Gradation, juxtaposition L’angoisse, atroce, despotique – Positif en négatif.
Paysage = Poète : Transformation du paysage : poète en crise d’angoisse projette sa vision – mal-être dès le début – insistance sur la longueur et l’ennui du poète = rythme du poème – assonance en « i » connotation de mal-être – apogée de la crise = Les cloches – Hurlement des cloches = l’extérieur hurle à la place du poète.
Angoisse répétitive : Crise de Spleen habituelle Présent itératif, anaphore de « Quand » - Soumission du poète.
Une élégie : « Je » & « Nous » - champ lexical