Lecture analytique de rouge brésil, partie ii, chapitre 5
Dans ce texte écrit par Jean Christophe Ruffin, auteur français qui en 2001 à gagné le prix grand concours, qui fait partie de l’académie française et qui est dans l’humanitaire à action contre la fin.
Ca passage tiré du livre Rouge Brésil, au chapitre 5 de la partie II, raconte la première fois où Colombe rencontra les Indiens et ressentis. Cet extrait est raconté au point de vu externe via la jeune fille.
Dans cette analyse, nous étudierons tout d’abord l’éloge que fait Colombe à propos des Indiens, ainsi que le regard qu’elle porte maintenant sur elle-même et sur sa colonie.
→ Quel regard porte Colombe sur ces hommes de nature ?
I/ Colombe et ses éloges sur les Indiens
1) Des éloges physiques
l.3 : « n’y avait vu qu’un détail pittoresque »
l.5 : « elle n’en fut nullement choqué »
l.8 : « comme des arbres »
l.9 : « avec naturel »
l.31-32 : « ne pouvait quitter des yeux »
l.33 : « Jamais elle n’avait imaginé qu’un être humain fût ainsi fait » l34 : « muscles gonflés comme des voiles »
2) Une belle langue étrangère
l.18-19 : « Une langue inconnue se laisse voir »
l.19 : « elle était colorée »
l.20 : « entremêlées »
l.22 : « la mélodie de leur dureté abrupte »
3) Une civilisation étrangère mais non dangereuse
l.27 : « cette hilarité »
l.27-28 : « les Indiens replacèrent leurs arcs à l’épaule »
II/ Un regard sur l’autre qui change son regard sur elle-même et sa civilisation
1) Une impression d’être ridicule
l.7 : « la pudeur européenne »
l.13 : « absurdement travesti qu’elle se sentait tout à coup l’être elle-même »
2) Les européens, des êtres aux airs ridicules
l.11 : « couvert de ses guenilles puantes »
l.12 : « c’est lui plutôt qui parut à Colombe ridicule »
l.14 : « bredouilla »
l.23 : « pour faire croire qu’il avait compris quelque chose »
l.25 : « il montrait que les étrangers n’avaient aucune intelligence »