Lecture linéaire : montaigne
De la ligne 4 à 6 Montaigne utilise de nombreux doublets ou l’humaniste renforce l’idée de cette vision ethnocentrique. A la ligne 6 le pronom « là » est ironique, il généralise de nouveau, il s’inclue de même. De la ligne 6 à 8 dans cette phrase il y a une répétition 3 fois de « parfait » c’est donc ici de l’ironie par antiphrase. Il se contredit ensuite en disant « ils sont sauvages » mais il les compare très vite « de même que nous appelons sauvages etc... » ici sauvages n’est pas péjorative puisque ici il désigne le fait être proche de la natureDeuxièmement de la ligne 10 à 12 le raisonnement par analogie commence. Nous retrouvons des connecteurs logique « à la vérité » des subordonnés relative et bien évidement des …afficher plus de contenu…
Il y a une comparaison entre les fruits « la saveur même et délicatesse se trouve à notre goût excellente ». Ainsi ce raisonnement par analogie est en faveur des indigènes, du côté de la nature face aux européens qui sont du côté de l’artifice.Troisièmement à la ligne 18 Montaigne emploie de nouveau un connecteur logique et une subordonné complétive « ce n’est pas une raison que etc » cela amène sa nouvelle idée. A la ligne 18-20 l’auteur généralise l’art, la culture « l’art gagne le point d’honneur sur notre grande et puissante mère nature. » Il compare la nature à l’art mais il évoque le fait que la nature est supérieur face à