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GEORGE DANDIN : Allons vite, ici-bas.
COLIN : en sautant par la fenêtre. M’y voilà. On ne peut pas plus vite.
GEORGE DANDIN : Tu es là ?
COLIN : Oui, Monsieur.
GEORGE DANDIN :(pendant qu’il va lui parler d’un côté, Colin va de l’autre.)Doucement. Parle bas. Va-t’en chez mon beau-père, et ma belle-mère, et dis que je les prie très instamment de venir tout a l’heure ici. Entends-tu ? Eh ? Colin, Colin. COLIN : De l’autre côté. Monsieur.
GEORGE DANDIN : (comme ils se vont tous deux chercher, l’un passe d’un côté, et l’autre de l’autre.) Peste soit du maroufle qui s’éloigne de moi.
Exercice 2 :
(1) Essayant d’entrée
(2) Poussant le plus fort qu’elle peut
(3) Poussant le plus possible
(4) Essayant t’en de bien que de mal d’entrer
(5) toujours en poussant et en criant
(6) arretant de pousser et en se lessant tomber sur la porte
Exercice 3 :
Harpagon fouille La Flèche : Il tâte le bas de ses chausses: Ces grands hauts-de-chausses sont propres à devenir les recéleurs des choses qu'on dérobe; et je voudrais qu'on en eût fait pendre quelqu'un. Harpagon chasse La Flèche et La Flèche se défend :
Mon maître, votre fils, m'a donné ordre de l'attendre.
La Flèche se plaint d’Harpagon et Harpagon le menace :
Je te rosserai, si tu parles.
Harpagon soupçonne la flèche et l’interroge : Attends. Ne m'emportes-tu rien?
Harpagon essaie à nouveau de faire avouer La flèche mais La Flèche nie: Allons, rends-le-moi sans te fouiller.