Le problème est que notre professeur ne nous a donné aucune indication, cela ne me dérangerait pas même me paraîtrait normal si ce n'était pas la première fois que nous faisions ce genre de travail ...
Bien entendu, j'ai déjà fait des recherches qui vont dans ce sens :
- Plus la maladie de Chloé avance, plus la vie des personnages commence à se dégrader : Colin doit commencer à se travailler et donc perd un côté , que je trouve, immature/insouciant, l'appartement devient de plus en plus petit et sombre, Nicolas se détache de plus en plus de l'histoire (pour moi du moins) et la souris redouble d'effort pour que tout "redevienne comme avant" ! Mais la dépendance de Chick commence à atteindre également son paroxysme tandis que l'admiration d'Alise pour "Partre" se transforme en dégout puis en répulsion totale jusqu'à ce qu'elle commette l'irréparable !
- La mort est considérée comme quelque chose de normale , de futile, quand elle concerne des citoyens "lambda" (par exemple, les gens qui se font jeter dans le trou de La Patinoire ou le chef d'orchestre qui meurt à l'église) et plus Chloé était proche des personnages, plus celle-ci est vécue douloureusement ( ce qui semble normal) mais j'ai ressenti en lisant le livre (aurais-je raison ou tort ?) que par rapport à Colin, ce que ressentent les amis les plus intimes de Chloé n'est rien, alors que je pense que dans la réalité, les amis proches d'une personne ressentent plus de choses qu'eux.
-Je ne sais pas si on peut le considérer dans les deux catégories "argent " et "mort" mais l'enterrement de Chloé démontre bien que les personnes qui s'en occupent ne se laissent pas émouvoir par les sentiments, par le passé (le mariage somptueux de Chloé et de Colin qui avait été largement généreux) mais par le présent et l'argent, que "l'après-mort n'est qu'un commerce et elle est donc destinée aux plus riches à qui on accorde de nombreux avantages tandis que les pauvres, eux , sont rejetés,humiliés alors que c'est