Les échanges internationaux
BTS commerce international 2014/2015
Lycée A.Angellier Dunkerque
PLAN DE COURS
LES ECHANGES INTERNATIONAUX
I : L’ouverture des économies 1 : la mesure des échanges a : les compte des transactions courantes
Il s’agit des imports et exports de biens, permet d’évaluer la compétitivité de la production française. L’appareil productif français manque de compétitivité par rapport au reste du monde (secteur industriel).
Le deuxième poste est celui des services (balance des invisibles, comme les transports ou l’ingénierie) : en France le secteur tertiaire est compétitif surtout dans le tourisme avec les services de voyage.
Ensuite on a les revenus : quand on paye un étranger en France c’est comme une importation, une sortie de capitaux. Nous investissons plus que les étrangers n’investissent en France. b : le degré d’ouverture
C’est le taux de participation d’un pays au commerce international, il faut tenir compte de la taille du pays. PIB : somme des valeurs ajoutées sur un an, donne des informations sur la richesse d’un pays. Actuellement plus de 30% des richesses créées en France le sont avec les imports et exports. Ceci démontre l’interdépendance des économies : évite les guerres quand on a des intérêts communs. c : le taux de couverture
Le taux de couverture perme de comparer, pour une économie ou un secteur particulier, les exportations avec les importations. Un taux de couverture de 100% signifie que le pays importe autant qu’il exporte. L’agriculture française est compétitive. Produits agro-alimentaire = transformation des produits agricoles en produits alimentaires, on est toujours compétitifs mais de moins en moins. Pour le secteur de l’automobile c’est une catastrophe aux dépends de l’Allemagne et de la Corée. Biens d’équipements (pour les maisons, les routes, durables pour s’équiper) baissent fortement, on n’est plus compétitifs. Dans les autres produits industriels on chute aussi.