Les choix à l'export
Elle se divise en deux sous-catégories :
A) Exportation contrôlée par commercialisation :
1) La vente directe : elle s’adresse aux entreprises souhaitant commercialiser en directe à l’étranger par de la VPC, autrement dit pour des biens de consommation courante. Ce n’est donc pas le cas de Mécamarc.
2) Le représentant salarié : Il est membre de l’entreprise à temps plein. Il prospecte sur le terrain pour le compte de l’entreprise. Mécamarc ayant usuellement recours à des importateurs, aucun salarié n’a l’expérience de terrain.
3) L’agent commercial : C’est un représentant externe à l’entreprise. Il est chargé de faire l’interface entre les clients et Mécamarc. Il est rémunéré par commissions. C’est un des modes de commercialisation les plus courants en Afrique du Sud, pouvant s’avérer intéressant pour Mécamarc.
B) Exportation contrôlée par implantation :
Cette catégorie regroupe le bureau de représentation, la succursale et la filiale. Mettre en place une unité commerciale en Afrique du Sud ne devra être considéré que dans le cas d'une société étrangère avec des intérêts commerciaux sur le long terme dans le pays. N’ayant pas encore de marché concret sur l’Afrique du Sud, Mécamarc ne peut donc se permettre d’opter pour un tel investissement.
Exportation sous-traitée :
L’importateur : Il effectue des ventes directes pour l’entreprise. Mécamarc est habitué à commercialiser ses produits auprès d’importateurs. Cette solution peut être intéressante pour l’entreprise car elle est peu coûteuse. L’entreprise participant à des salons, il lui sera possible de rencontrer un panel d’importateurs importants et de pouvoir le sélectionner.
La S.C.I. : Cela ne correspond pas aux cas de Mécamarc, l’Afrique du Sud n’étant pas une ancienne colonie française, il y a peu de chance pour que le contact aboutisse.
Bureaux d’achats étrangers : Ce cas de figure ne concerne pas non plus Mécamarc, l’entreprise ne