Cité jardin : 1915-1930

Elles répondaient à plusieurs objectifs, notamment régler le déficit de logements pour les classes sociales les plus populaires tout en offrant un cadre de vie épanouissant.
Les citées jardins édifiées en Belgique dans les années vingt se rattache à l’éclosion du mouvement moderne.
La plupart des architectes et urbanistes belges rassemblés autour de la nouvelles société nationale HBM ont tenté d’appliquer a la question de ces nouveaux logements les grands principes du modernisme (économie de la construction, nouvelles technique de construction, nouveaux matériaux, éléments standardisés). Les grand principe: - «L’effort réfléchit, l’unité et la méthode dans l’action - La persistance de la volonté à vouloir créer des cités où le confort, l’hygiène et la beauté seront envisagé avant le gain criminel ou la funeste économie. - Le désire immodéré d’enrichir le patrimoine légué par les ancêtres, tout en possédant au coeur [...] la certitude de contribuer [...] au relèvement, à l’émancipation et au progrès constant de la génération entière à laquelle on appartient.»
Aujourd’hui elles ont gardées pour la plupart, une apparence de quartiers banlieusards modèles, parfois magnifiques sur le plan urbanistique et architectural, mais coupées de la vie urbain de la capitale. Elles sont amenée peu a peu a devenir des ghetto car trop éloignées du centre pour pouvoir se fondre dans la ville et pourvues d’insuffisamment de services et d’équipement pour pouvoir se développer de manière autonomes.

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Les differentes cités-Jardin en peripherie de Bruxelles
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Bruxelles | Patrimoine architectural avant 1950

Emmanuelle Peupier-Lemerle

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Les Cités-jardins le Logis et Floréal, Watermael-Boitsfort 1921 1922, par L. Van der Swaelmen et J-J. Eggericx,

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Cité-Jardin du Transvaal, Auderghem 1921

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Les Pines