Les Confessions (Jean-Jacques Rousseau)
Lors du siècle des lumières, le courant philosophique s’installe peu à peu. Entre autre, les auteurs deviennent bien plus sincères, et ils le laissent paraître dans leurs œuvres. Jean-Jacques Rousseau a écrit un livre, Les Confessions, qui a été publié en 1782, donc quatre ans après sa mort. L’ouvrage est divisé en six livres. Dans le livre III, Rousseau fait un autoportrait. Dans le passage, Rousseau explique que les jugements erronés à son endroit découlent à la fois de son caractère singulier et des tares de la société. Il en sera décrit comment on en arrive à ces conclusions. Dans le premier paragraphe, le caractère singulier de Rousseau sera le thème, et dans le deuxième, ses tares sociaux.
Jean-Jacques Rousseau a un caractère singulier à cause de ses sentiments vifs ainsi que puissants, et sa lenteur de réfléchir qui pourrait être perçu comme un attrait d’imbécile. Rousseau a une faculté de vivre ses sentiments et ses émotions très fortement. De cœur, il est en symbiose avec lui-même. Donc, il peut être parfois plus vif de cœur que d’esprit. Dans son texte, il dit; «Le sentiment plus promt que l’éclair, veut remplir mon âme; mais au lieu de m’éclairer, il me brûle et m’éblouit. Je sens tout et je ne vois rien. Je suis emporté, mais stupide; il faut que je sois de sang-froid pour penser1.» Dans ce segment, il est bien démontré que les vastes émotions de Rousseau l’empêche de réaliser des réflexions qui sont propices au moment présent. Cependant, ce qu’il est possible d’être noté dans la citation, grâce au parallélisme, c’est que Rousseau comprend se qui lui arrive. Il est en relation avec ce qu’il vit, et il reconnait avoir besoin de temps pour s’éclairer l’esprit. Dans une conversation, cette caractéristique de Rousseau pourrait résulter de en faux jugements.En contraste a ses sentiments radieux, la lenteur d’esprit de Rousseau lui donne un aspect intriguant de caractère. Il lui est difficle de mettre en ordre ses pensées sur le moment.