Les croyances religieuses sont elles une consolation pour les faibles?
Résumé :
Pendant le cours "Philosophie et histoire des religions", j'ai eu l'occasion d'en apprendre plus à propos de la religion, de ses origines et de la relation de l'homme avec celle-ci. J'ai pris ce cours là (pour la deuxième année consécutive) pour approfondir ma connaissance de la religion, et pour répondre à certaines questions que je me pose quand à la religion. Une des question qui me taraudait et qui, Il me semblait être dans la continuité du cours est celle de la religion en tant que consolation pour les faibles. Il s'agit en effet souvent de l'argument avancé par les athées pour décrire la religion. J'ai donc essayé de me placer dans une optique assez objective, reposant sur les points de vue de plusieurs grands philosophes sur la question de la religion, notamment dans son rôle dans la vie des hommes afin de voir si celle-ci était contraignante ou au contraire salvatrice. Après avoir vu le pour et le contre de la question, ma réflexion m'a finalement menée à me dire que non seulement la religion était bel et bien une consolation pour les faibles, mais que celle-ci était bien faible vu le caractère illusoire de la religion. Je me suis surtout penchée sur des pensées qui ont commencé à émerger pendant les lumières puis qui ont continué à se confirmer, et surtout à s'affirmer de plus en plus jusqu'à aujourd'hui. On notera qu'avec l'évolution de l'homme, l'athéisme évolue avec lui. Il s'agit là également d'un fait qui a attisé ma curiosité et m'a fait pencher sur le sujet: comment un sujet supposé sacré et transcendant peut il être remis en question au point d'en descendre de son piédestal et de le réduire à une simple consolation pour les faibles, donc ceux qui n'ont pas de "chance" ici bas.
Sommaire
Introduction
I. La croyance religieuse comme une adhésion spirituelle risquée
1. Croire c'est faire un saut dans le vide
2. Croire est un choix