Les doctrines positivistes
Le positivisme, le droit positiviste se justifie par lui-même. Le positivisme étatique. Le droit n’a pas d’autre justifications que d’être de l’état, la loi injuste doit être respectée parce qu’elle est la loi. Ce positivisme prouve son expression la plus forte chez le philosophe allemand Hager. Pour lui tout ce qui est étatique est juridique. Tout ce qui est juridique est étatique. La position étatique a était défendue par Carré de Malberg, mais nous devons citer Kelsen (1881 -1973). Une pyramide des normes avec comme sommet L’Etat. Chaque norme serait justifiée par celle d’avant. Les lois renforcent obligatoirement Delors quelles sont conforment à la constitution. Le positivisme sociologique se justifie parce qu’il est représentatif des états, des mœurs. Le droit est produit d’une histoire, d’une nation. Pour Durkheim, le droit est l’objet d’une science positive dans ce qui tient dans les phénomènes sociaux. Le milieu social joue un rôle prépondérant, et pourrait être rattaché au positivisme sociologique. La superstructure est le reflet d’une infrastructure. L’objection essentielle qui est faite contre les analyses positives, est quelle révise le droit à une science. Au-delà de cette objection, il a était reproché au positivisme, son caractère réducteur. Le positivisme étatique explique le caractère obligatoire des règles de droit, mais il réduit le droit à la seule loi. Il explique la relativité du droit d’une époque à l’autre et d’un pays à l’autre. Le positivisme sociologique aboutira à donner une place prépondérante a la culture.
Aujourd’hui la majorité des auteurs considèrent que la règle de droit, dans le positivisme étatique tire sa force obligatoire de l’État. Pour autant son adoption et son interprétation doivent tenir compte de l’état des mœurs et des finalités du