Les erreurs et le processus d’apprentissage
Dans les méthodes traditionnelles d'enseignement des langues étrangères, surtout dans le contexte institutionnelles, l'erreur était interdit. Le but central était répéter exactement le modèle de « bonne prononciation » donné par l’enseignant. Actuellement, le but est que l'élève peut communiquer dans une langue étrangère. Dans l'approche communicative rôle de l'enseignant est d'encourager la communication et l'interaction entre les élèves. Alors, faire des corrections immédiates peu perturber la communication et peut aussi embarrasser l'étudiant et intimider les autres. Toutefois, cela ne signifie pas que l'erreur doit être ignorée. Au contraire, l'enseignant doit être très attentif aux erreurs commises par les élèves dans les interactions. L’interaction contienne beaucoup de traits de l’interlangue et de ce que l’apprenant a acquis. Au réaliser des énonces en langue cible dans des situation dialogiques, l’apprenant est plus spontané. Occupé dans sont but de communiquer, il est plus détendue et il développe des stratégies pour remplir les « lacunes » de sont système intermédiaire[1] sans penser à ces opérations. En plus, l’interaction est plus proche des situations de communication que les locuteurs peuvent trouver en dehors de la salle de classe, où ils doivent être capable de se communiquer d’une façon dynamique même dans des situations tendues ou en état de nervosité. L'erreur contient les traits du palier d’acquisition/apprentissage de l’apprenant et aussi de ces stratégies d’apprentissage (généralisations, simplifications du discours, utilisation de mots « transparents », recours à L1 et à la traduction, etc). L'enseignant doit être attentif aux erreurs qui sont « inhérentes au processus d’apprentissage » et qui sont « indice d’un progression dans l’apprentissage ». Mais il faut aussi noter les erreurs très constants ou résultat « d’un mal compréhension », des problèmes qui peuvent être, dans le futur,