Les faux monnayeurs résumé
Chapitres I-II
Bernard quitte son foyer. Il demande à son ami Olivier s’il peut l’accueillir pour la nuit. Avant de partir, il laisse à sa famille une lettre expliquant la raison de son départ : il a découvert que son père, Albéric Profitendieu, n’était pas son père biologique. Il est le fruit d’une faute commise par sa mère dans sa jeunesse.
Albéric Profitendieu, juge d’instruction, s’entretient dans la rue avec Oscar Molinier, père d’Olivier, au sujet d’une affaire de moeurs impliquant des enfants et des adolescents.
En arrivant chez lui, Profitendieu découvre la lettre. Elle lui fait beaucoup de mal, lui qui aime Bernard et son côté rude et indompté comme il n’a jamais aimé ses autres enfants.
Chapitres III-IV
Vincent, frère ainé d’Olivier, étudiant en médecine, accepte de s’occuper du père du comte de Passavant, très mal en point suite à une opération. Cela lui permet de gagner l’argent dont il a besoin : Laura Vedel, une jeune femme mariée à Félix Douviers qu’il a rencontrée dans un sanatorium à Pau, alors qu’elle était en convalescence, est enceinte de lui. Il se sent responsable et veut subvenir à ses besoins. Mais il finit par la quitter pour Lady Griffith, une amie du comte de Passavant.
Chapitres V-IX
Dans le train qui le ramène à Paris, Édouard, demi-frère de la mère d’Olivier, relit une lettre de Laura qu’il a jadis aimée. Elle implore son aide.
Olivier vient chercher Édouard à la gare. Ils sont particulièrement heureux de se retrouver, mais cette joie est si pudique que leur entretien se déroule dans la gêne et l’agacement. De nervosité, Édouard jette sa consigne par terre. Bernard, qui les suivait à quelques pas, ramasse le papier.
Chapitres X-XIII
Bernard trouve les carnets d’Édouard. En les lisant, il découvre un Olivier vraiment différent avec ses autres amis, Sarah et Armand. Il éprouve un peu de dépit « de ne pas en être » (p. 117). Le journal du romancier relate aussi une visite au vieux La Pérouse, ancien