Les femmes aussi ont perdu la guerre
Le Père NOËL, est-il vraiment une Ordure ?... Quand j'avais 5 ou 6 ans... Quelques temps avant NOËL, j'entendais ma Mère me dire :
_ « Si tu n'es pas sage ? Le Père NOËL ne t'apportera aucun cadeau !... Au pied du sapin ». Pour voir si c'était vrai ?... Avec ma sœur cadette, nous avions décidé de laver le chien en plein Mois de décembre. Nous le montâmes dans un baquet d'eau très froide. Le savonnant bien avec de la lessive... Après nous l'avions essuyé, avec un drap qui séchait sous le hangar à bois Pour finir le bouquet ?... Nous l'avions emmitouflé, dans la couverture séchant sur le fil. Quelques minutes plus tard... Notre Mère arriva, cherchant du bois pour chauffer la maison. En hurlant, elle nous demanda :
_ « Qu'est-ce que vous avez fait comme connerie ?...
_ Vous avez lavé le chien ? Il gèle à – 5° !...
_ Vous êtes complètement fous !... De faire çà ! À cette pauvre bête...
_ Il est tout tremblant !... Vous allez voir votre Père ce soir ? ». Le soir même... Nous recevions une tannée à coup de ceinture. Au lit sans manger. Dix jours plus tard... Le chien mourut, dans d'horribles souffrances. En hurlant de douleurs. Le matin de NOËL... Dans nos souliers ? Rien... Il y avait un martinet. Plus un fouet de cheval... Mon petit frère avait, un grand camion... Ma petite sœur un gros Nounours... Ma sœur cadette et moi ? Rien ! De rien !... Je faisais cette réflexion :
_ « C'est dégueulasse !... On a rien !... Même pas une orange ?
_ Juste un Martinet !... C'est pas juste ! ». Mon Père descendit, en me rétorquant :
_ « Et la mort de KIKI ?... Elle était juste ? Elle ! ».
Attrapait, le Martinet... Donna cinq à six coups, sur les jambes de ma sœur cadette. Puis il prit le fouet... Le déroulait, commença. À le faire claquer parterre. Me le fit claquer, près de mon oreille droite. M'ordonnait, de me pencher en avant. Je m'appuyais, sur mes genoux. Puis il disait