les figures de style
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Les figures de style dans Le Dernier jour d’un condamné Identifier les figures de styleÉnoncé
Figures de style
1. ‐Je laisse une mère, je laisse une femme, je laisse un enfant.
Anaphore
2. ‐Mais ma fille, mon enfant, ma pauvre petite Marie, qui rit, qui joue, qui chante à cette heure.
Anaphore
3. ‐J’ai entendu dire cela à des curieux qui sont venus me voir comme une bête de la ménagerie.
Comparaison
4. ‐çà et là des caractères rouillés qu’on dirait écrits avec du sang.
Comparaison
5. ‐J’aimerais rendre le sens et la vie à ces inscriptions mutilées, à ces phrases démembrées, à ces mots tronqués, corps sans tête comme ceux qui les ont écrits.
Métaphore
6. ‐pour une idée, pour une rêverie, pour une abstraction, cette horrible réalité qu’on appelle la guillotine !
Anaphore
7. ‐Au lieu de remède, il lui redonnait du poison.
Anithèse
8. ‐Les forçats en punition étaient plus gais qu’à l’ordinaire. Tout Bicêtre semblait rire, chanter, courir, danser.
Comparaison
9. ‐Moi, seul muet dans ce vacarme …étonné et attentif, j’écoutais.
Anithèse
10. ‐Vous serez seul dans votre loge comme le roi.
Comparaison
11. ‐Rien de plus dégradé, de plus nu, de plus misérable à l’œil que cette quadruple façade.
Gradation
12. ‐C’étaient les prisonniers, spectateurs de la cérémonie en attendant leur jour d’être acteurs .On eut dit des âmes en peine aux soupiraux du purgatoire qui donnent sur l’enfer.
Comparaison
13. ‐Et un moment après, voilà que deux ou trois portes basses vomirent presque en même temps, dans la cour, des nuées d’hommes….C’était les prisonniers.
Métaphore
14. ‐Ils furent salués d’acclamations et d’applaudissements qu’ils recevaient avec une sorte de modestie fière.
Oxymore
15. ‐Il entrait dans la cour en faisant la roue sur lui‐même avec l’agilité d’un serpent.
Comparaison
16. ‐Ils chantaient une chanson du bagne…sur un air tantôt plaintif, tantôt furieux et gai.
Antithèse
17. ‐Un profond sentiment de