Les franco-ontariens en voie d'extinction?
Naître de familles franco-ontariennes (autrefois appelées canadiennes françaises) fait en sorte d’en tirer des origines particulières et se prononcer en tant que franco-ontarien. Même s’ils peuvent sembler tous pareils, c’est la personnalité qui en fait la différence. Ainsi, le sentiment de la peur peut prédominer; une peur qui peut s’expliquer en partie au fait de ne pas pouvoir s’exprimer pleinement en français en Ontario.
Certains se tournent alors vers l’accessible; le Québec. Le franco-ontarien Daniel Poliquin - l’auteur de l’écureuil noir - s’exprime sur le Québec. « Et c’est ça la réalité au Québec : les québécois sont indépendants et ils ont déjà un pays à eux. » (Comme les autres, et… différents, p. 3) Pour M. Poliquin, il s’attarde à dire que là-bas, tout est plus facile. Le français est majoritaire. Également, les québécois n’auront pas besoin de se battre pour garder leur langue. Daniel