Les gommes
Les Gommes
Résumé de l'œuvre :
Prologue
Le roman s'ouvre sur la vision d'un café. C'est le matin, le patron range, nettoie, ... Il y a aussi une employée, Jeannette. Très vite apparaît Antoine, un client que le patron n'apprécie pas beaucoup, car un peu trop fou et exubérant. Il lui parle de l'assassinant d'Albert Dupont, mais le patron lui assure que l'homme, en fait Daniel Dupont, est seulement légèrement blessé.
Le jour de l'attaque, on suit l'assassin, Garinati, qui suit les instructions de Bona. Mais, dans le bureau de la cible, il oublie d'éteindre la lumière, Daniel Dupont l'aperçoit et, quand Garinati fait feu, il le touche seulement légèrement au bras. Dupont s'enferme dans une pièce voisine et Garinati s'enfuit.
Après l'attaque, la vieille Jeanne, qui travaille chez Daniel Dupont, qui fait la cuisine et le ménage, arrive dans le café où elle demande à utiliser le téléphone, car la ligne ne fonctionne plus chez Dupont. Elle appelle un médecin, parle d'une blessure au bras. Plus tard, dans le journal, on apprend que Daniel Dupont, grièvement blessé, est décédé sans reprendre connaissance.
On retrouve alors Daniel Dupont à l'hôpital, en parfaite santé, si ce n'est une blessure légère au bras. Il parle au médecin de sa décision de passer pour mort et de quitter la région. Une troisième personne, Marchat, exprime ses doutes. Dupont réplique par : « Roy-Dauzet a insisté... » Dupont est membre d'un groupe. Chaque jour depuis neuf jours, et chaque fois entre dix-neuf et vingt heures, un membre du groupe est assassiné. Dupont demande à Marchat de récupérer des papiers chez lui. Marchat râle, mais accepte. D'un autre côté, le Commissaire Laurent est chargé de l'affaire. Or, les empreintes de l'assassin ne correspondent à aucune connue, il suppose qu'il n'est pas de la région, le cadavre n'est pas examiné et ceux « d'en haut » lui demandent de ne pas s'en mêler. Bien content de pouvoir faire autre chose, il ne cherche pas