Valmont parle de la débauche et de la rouerie telle une pratique de religieuse. Il se déclare tal étant le second de Mme de Merteuil en faisant preuve de modestie mais il se « rebiffe » par la suite en refusant pour l’instant la mission que cette dernière lui acccorde.
Il se dévoue pleinement à Mme de Tourvelle et ne pense pas pouvoir consacrer du temps avec une débutante telle que Cécile de Volange.
Il y a là un détachement envers la société et une prise de conscience de soi-même.
Même si l’histoire ne dure que 6 mois (environ), ces personnages ont déjà un passé et croit être au sommet de leur capacités.

Dans cette lettre, Mme de Merteuil veut dissuader Valmont de sa conquête qui lui semble ridicule et sans gloire. Derrière cette ironie Merteuil méprise le fait que Valmont se « promènerait » au bras d’une potiche. La jalousie potentiellement existentielle serait le fait que la Présidente de Tourvelle tient une conduite morale, une capacité que ne possedera jamais Mme de Merteuil.

Plusieurs observations sont à faire vis à vis de l’argumentation de Mme de Merteuil : • elle se moque de lui et exagère avec une ironie invraisemblable sur la description de la Présidente de Tourvelle (portrait violent) • De plus elle lui suggère que la Présidente de Tourvelle lui imposerait un style de vie peu convenable pour lui et ne lui offrirait que les « demi-jouissance » d’une épouse. • La séduction de Cécile de Volange serait un meilleur parti. • Elle pique son orgueil en citant également le Chevalier Danceny. • Elle le met au défi en lui suggérant que Gercourt le dépassera une fois de plus.µ • Elle lui fait du chantage. • elle le met face à son avenir, ce qui s’oppose à leur morale commune. • elle fait un caprice ridicule pour le dissuader • elle prend Valmont par les sentiments car « si il persiste elle se fâchera avec son amant