Les misérables
Les misérables est une adaptation cinématographique française du roman de Victor Hugo, elle est loin de n’être que l’histoire, touchante, mais quelque peu invraisemblable, et mélodramatique (pièce de théâtre qui est exagérer). L’un d’entre eux a été réalisé par Jean Paul Le Chanois, sortie en 1957. Ce film est en deux parties la première partie étant « la première époque » suivit de « la seconde époque » durant toutes les deux 1 heures 15. Le héros du film est Jean Valjean, le forçat, qui venait de passer dix-neuf ans au bagne pour avoir tenté d’aider sa sœur est ces enfants en volant du pain mais celui-ci est maintenant considérer comme un paria, pestiféré et tout le monde s’écartent de lui. Seul un évêque l’accueillit avec bienveillance et lui offrit le couvert ainsi qu’un lit pour dormir. Pourtant malgré la générosité de son hôte, Jean Valjean s'enfuit en pleine nuit, après avoir dérobé les six couverts d'argent, les seules richesses de l'évêque. Le lendemain, les gendarmes le ramènent chez Mr Bienvenu qui, à sa grande surprise, l'innocente. L'évêque lui offre même deux chandeliers en argent que Jean Valjean avait "oublié" d'emporter. Il souhaite ainsi aider l'ancien bagnard à redevenir un honnête homme. Pourtant sur la route, Jean Valjean commet un nouveau délit. Il vole un petit ramoneur. Mais, alors qu'il s'apprête à ranger son larcin dans sa besace, il revoit les chandeliers de Mr Bienvenu, et se rappelle les paroles de l'évêque. Il n'aura plus alors qu'un seul but : honorer la bonté de l'ecclésiastique et servir le bien. Ensuite Jean Valjean arrivant à Montreuil se fit appelé M. Madeleine, envers les gens il semble un véritable bienfaiteur : il offre du travail à toutes les personnes honnêtes qui se présentent à sa fabrique, donne des conseils éclairés et multiplie les actes de générosité. Un jour, il a sauvé un vieillard, Fauchelevent, que sa charrette menaçait d'écraser. M. Madeleine est parvenu à relever la carriole et à