les OGM
République Algérienne Démocratique et populaire
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Université de Tlemcen
Faculté des Sciences
Département d’agro foresterie.
Irrigation des céréalicultures en Algérie
introduction
• -En Algérie les céréales occupent 60% des terres cultivées et représentent l’activité d’une masse importante de la population. • -Malheureusement la production demeure faible et les rendements oscillent au gré des aléas climatiques entre 8 et 10 quintaux à l’hectare.
• -Les variations climatiques défavorables, marquées particulièrement par un déficit hydrique sévère et régulier souvent accompagné de fortes chaleurs en fin de cycle, sont souvent un frein à toute action d’amélioration.
• -Le recours à l’irrigation de complément pour sécuriser et accroître les rendements est devenu une nécessité.
Les Terres irriguées en Algérie :
-La superficie agricole utile (S.A.U) qui représente que 3 % de la superficie globale (localisée pour la plupart dans la partie Nord du pays) est en baisse, depuis les années soixante, de plus de 200.000 hectares, cette superficie est difficilement extensible étant donné les contraintes naturelles.
-L’eau est également un facteur limitant, les terres irriguées représentent environ 300.000 hectares soit près de 4 % du total de la
S.A.U. Cette superficie est en régression compte tenu des terres perdues au profit des autres secteurs et qui se situent pour la plupart dans les zones irriguées du littoral et des plaines.
-A ces contraintes s’ajoutent les données du relief, pays de montagnes avec une altitude moyenne de l’ordre de 800 m, les superficies recevant plus de 400 mm de pluies par an et dont les pentes sont inférieures à 12 % n’excèdent pas un million d’hectares.
• NB. Sur les 7.500.000 hectares de S.A.U, il n’y a que
4.600.000 hectares qui sont effectivement cultivés, les autres restants en jachère.
Evolution de l’irrigation :
• -A la