Les conséquences des prières dans les rues.

Depuis un an, de nombreux journaux mène l’enquête dans les quartiers islamisés de notre pays, et dénonce l’occupation et le blocage de rues entières par des milliers de musulmans, chaque vendredi.
Grâce aux journaux nous pouvons savoir que ces pratiques illégales ont lieu chaque vendredi dans quatre rues de Barbès (18e arrondissement de Paris), mais aussi dans les 11e et 20e arrondissements de Paris, à Puteaux (92), à Clichy (92), à Montreuil (93), aux Ulis (91), à Drancy (93), dans le centre de Marseille, dans deux quartiers de Toulouse, et dans le centre de Nice.

« Les prières de rue, c’est quelque chose qui n’est pas acceptable, directement attentatoire au principe de la laïcité, et il faudra que ça cesse. » a déclaré Claude Guéant, au début du mois d’août.
Il est temps, en effet, que cette atteinte à l’ordre public prenne fin ! Depuis plusieurs années, de nombreux musulmans prient dans les rues du quartier Barbès les vendredi après-midi. Mais une échéance a enfin été fixée : à compter du 15 septembre, il ne sera plus permis de prier sur la voie publique.
La préfecture de police a donc proposé aux communautés musulmanes de disposer d’une ancienne caserne de sapeurs-pompiers, située boulevard Ney. Les ultimes aménagements seront achevés dans les délais afin d’accueillir environ 2 500 fidèles le vendredi pour la grande prière. Le bâtiment sera loué aux deux associations musulmanes de la rue Myrha et de la rue Polonceau.
Mais des tensions règnent autour de ce nouveau lieu de culte car les imams du XVIIIe ne cessent d’émettre des réserves. Ainsi, la disposition des salles est contestée. Les imams demandent la création d’un lieu séparé pour l’ablution mais aussi pour la prière des femmes, des places de parking etc…Le loyer, estimé à 10 000 euros par an, est également mis en cause. Les musulmans souhaitent un loyer allégé et exigent une utilisation des lieux sept jours sur sept. Rappelons pourtant que ce loyer a